Le vrai problème, le drame chronique avec les paires de chaussures, c'est de trouver la PERFECTION. La perfection, c'est une courbe racée qui tourne autour du pied, un bout tout juste arrondi mais très peu, une cambrure de pied aussi belle qu'une cambrure de reins... La chaussure parfaite c'est un vrai objet. Un vrai casse-tête aussi. D'ailleurs, très tôt, ma mère a renoncé à aller acheter des chaussures avec moi... la paire parfaite étant introuvable. Ou alors juste cachée avenue Montaigne, dont je n'avais pas encore l'adresse. Pauvres mères d'enfants perfectionnistes, je vous adresse un hommage repentant et respectueux.
Sachez chers lecteurs que j'ai trouvé la solution à ma quête (enfin presque. (Je dis presque parcequ' ensuite il faut que je trouve le budget. Je vais avoir besoin d'un sponsor!) ). Attirée par l'exquise Anne chez Rupert Sanderson il y a une semaine...
credit photo: Chic&Geek
Et Rupert Sanderson, c'est _ _ _ simple à première vue et extrêmement sophistiqué dès que l'on s'approche un peu. Et je suis tombée sur cette échancrure :
Voilà depuis je ne dors plus la nuit. J'ai très mal à la tête. J'imagine ça avec une jupe plissée et un petit pull Marylin. C'est la catastrophe, je croyais être guérie des chaussures, mais j'ai croisé la boutique de Rupert...
Vous pouvez voir un article d'Anne très bien écrit sur ce créateur ICI . Yours! E.